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👉 “Je ne sais pas quoi faire plus tard…”
👉 “J’ai plein d’idées, mais aucune ne me passionne vraiment.”
👉 “Et si je me trompais ?”
Si votre enfant exprime ces doutes, rassurez-vous : il n’est ni seul ni en retard.
On pense souvent que l’orientation est une question de logique : comparer les options, analyser les débouchés, et choisir la meilleure. Mais en réalité, prendre une décision est avant tout un processus humain, influencé par nos émotions, nos croyances et nos biais cognitifs.
Et si le plus important n’était pas de trouver “le métier parfait”, mais d’apprendre à se connaître et à comprendre comment on prend nos décisions ?
Voyons comment avancer avec plus de clarté et moins de pression.
1. La vraie question : qui suis-je ?
Avant même de chercher un métier, la première étape est d’apprendre à mieux se connaître.
On peut passer des heures à explorer des fiches métiers, mais si l’on ne sait pas ce qui nous motive réellement, les choix resteront flous.
💡 Quelques questions pour aider votre enfant à mieux se connaître :
✔ Quelles sont mes forces naturelles ? Ce que je fais bien sans effort.
✔ Qu’est-ce qui me passionne ? Ce qui capte mon attention sans que j’aie à me forcer.
✔ Dans quel environnement de travail suis-je le plus à l’aise ? Plutôt structuré ou flexible ? Plutôt en solo ou en équipe ?
Dans mes accompagnements, j’utilise le bilan HBDI Junior®, un outil puissant qui permet de comprendre comment fonctionne notre pensée : plutôt analytique, créative, logique ou relationnelle ? Cette prise de conscience aide à choisir une voie alignée avec ses préférences naturelles.
2. Nos décisions sont biaisées (et c’est normal)
On pourrait croire que pour faire le bon choix, il suffit de prendre le temps de réfléchir. Mais notre cerveau ne fonctionne pas de cette manière.
Nous sommes tous influencés par des biais cognitifs, ces petits raccourcis de pensée qui nous font parfois prendre des décisions par automatisme, sans nous en rendre compte.
Trois biais qui peuvent bloquer l’orientation :
Le biais de conformité → “Tout le monde fait ça, alors moi aussi.”
➡ Suivre les choix de son entourage sans se demander si cela nous correspond réellement.
Le biais de l’aversion à la perte → “Et si je faisais le mauvais choix ?”
➡ Peur de choisir et de regretter ensuite, ce qui mène à l’immobilisme.
Le biais de négativité → “Et si ça tournait mal ?”
➡ Accorder plus d’importance aux risques et aux échecs potentiels qu’aux opportunités positives.
💡 Prendre conscience de ces biais, c’est déjà reprendre le contrôle sur son orientation.
Et si, au lieu de se demander “Et si ça tournait mal ?”, on se demandait “Et si ça tournait bien ?”
3. Tester, choisir et ajuster
Une erreur fréquente est de croire qu’il faut trouver LA bonne réponse avant d’agir. Mais la meilleure façon d’y voir clair, c’est d’expérimenter.
Comment passer à l’action ?
✔ Rencontrer des professionnels pour poser des questions sur leur métier.
✔ Faire un stage, du bénévolat ou un job d’été pour tester un domaine en conditions réelles.
✔ Explorer des sites, des vidéos en ligne pour voir si un sujet passionne vraiment.
L’important n’est pas d’avoir tout prévu, mais d’oser une première étape et d’ajuster au fur et à mesure.
💡 Un bon choix n’est pas une décision irréversible, c’est un point de départ.
Et maintenant, quelle est la prochaine étape ?
Si votre enfant (ou vous-même) est encore perdu, pas de panique. L’orientation est un chemin qui se construit étape par étape.
👉 Une action simple à faire cette semaine :
📌 Regarder des témoignages de professionnels sur YouTube.
📌 Contacter quelqu’un qui exerce un métier intéressant et lui poser des questions.
📌 Etre curieux !
Et si vous souhaitez un accompagnement pour avancer avec sérénité, je peux vous aider.
🎯 Découvrez mes bilans d’orientation HBDI Junior® et offrez à votre enfant les clés pour un choix éclairé et aligné avec sa personnalité.